Pour continuer sur la vague lancée par Enriqueta sur le bateau des Croqueurs de mots , en noyant peut-être le poisson mais en tâchant de ne pas se noyer dans un verre d'eau, on peut voir l'océan partout, surtout quand on n'y est pas, raison de plus pour...
Lire la suiteM comme ... - Lenaïg
Hi hi hi, hé hé hé ! Mais qui est, là caché, Fondu dans le paysage ? Un être doux et sauvage ! Hé hé hé, devinez ! Je souris, moi je sais ... Une peluche animée, Précieuse présence aimée ! Tu m'as vue ? Se dit-elle, Car c'est la demoiselle Qui posa, sans...
Lire la suiteInsectes ? La suite des ami(e)s sur le thème de Jill ...
Vendredi soir caniculaire de juillet, Paris 19 et 20e, entre macadam et verdure - Lenaïg
Vers 19 h, on prend le bus, qui passe au-dessus du canal de l'Ourq, qui emprunte l'avenue Jean-Jaurès et tourne dans l'avenue de Laumière. On descend à l'arrêt du même nom. On se dirige en musardant vers le parc des Buttes Chaumont, laissant à notre gauche...
Lire la suiteCoucou du haïku : insectes ! Proposition de Jill - Lenaïg
Il entre un moustique je le vois à contre-jour puis le perds de vue ... *** Copros réunis au sous-sol et là s'invite une blatte *** Belle pucenelle ne porte pas du tout chance à la gent cocciron ...* *** Lenaïg * Les mots sont sortis en une inversion...
Lire la suiteOPPROBRE - 5/5 - RAHAR
La fortune des Decaphé avait fondu, mais était encore appréciable, et les enfants de Justin et de Maria avaient été bien préparés pour la vie ; les petits-enfants faisaient tous partie de la classe moyenne supérieure, et les arrière-petits-enfants semblaient...
Lire la suiteOPPROBRE - 4/5 - RAHAR
En moins d’une semaine, la grande surface ferma ; inexplicablement, les clients boudaient le centre, les recettes s’effritaient comme peau de chagrin. Les Decaphé prospérèrent et devinrent fortunés. Ils suscitèrent également l’envie et la jalousie, même...
Lire la suiteJeudi poétique des Croqueurs, Enriqueta à la barre estivale - Lenaïg
Le thème d' Enriqueta : les oiseaux de mer Dans l'accueil sonore des mouettes et goélands, je descends du train *** Cap Fréhel _ en vain je guette les macareux ... Juste un cormoran ! *** Soudain dans le ciel un nuage d'étourneaux migrant pour la nuit...
Lire la suiteOPPROBRE - 3/5 - RAHAR
La tante Yvette possédait un ordinateur et s’en servait pour contacter ses amis, lier de nouvelles connaissances, consulter des sites mondains, effectuer des achats en ligne… À l’occasion de la venue de Marc, elle avait dû installer un logiciel de contrôle...
Lire la suiteOPPROBRE - 2/5 - RAHAR
La vieille dame l’accueillit avec l’un de ses plus chaleureux rares sourires. Elle était en pleine santé et plus que jamais solide comme un roc. Pourquoi ses parents lui avaient-ils menti ? Marc avait-il escompté, même inconsciemment, un présent ? Honnêtement,...
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