Ah, que j'aime mon café,
celui du p'tit déjeuner,
puisé dans notre soupière,
je sais, bien imaginaire !
En fait, pour tout dire en vrai,
mon mug juste sous mon nez ;
au terrier pas de soupière !
Le voici, tiens, tant qu'à faire
Lui et son coéquipier,
le breton, joli et gai !
Voici propos bien légers,
qu'on veuille me pardonner,
mais tout a de l'importance
dans nos pauvres existences !
Surtout si dés sont jetés :
six mois d'ici écoulés,
disparition de la Terre
si prophètes sont sincères,
eux qui nous ont annoncé
la fin de l'humanité !
Ce poème se poursuit,
si on n'a rien d'autre à faire,
sur la page que voici (clic !)
je vous attends, vous espère,
ce sera vraiment gentil !
Lenaïg
Dimanche 8 juillet 2012
J – 165 !