Voilà, moi aussi j'ai fini, après avoir regagné mon terrier à la capitale. Bon, beaucoup de verbes dans mes essais, je sais que ce n'est pas recommandé stricto sensu dans les haïkus, tant pis, mes ressentis sont ainsi. Lumière en mots sur mon copain parisien, jamais pris en photo alors Pixabay y supplée ! Puis un petit essai sur un animal qu'on n'imagine pas être un copain, une montagne de muscles à terribles cornes à qui l'on fait croire que sa seule raison de vivre et de mourir est de combattre dans l'arène. Peut-être que certains d'entre eux sont naturellement belliqueux, pourtant chez nos frères animaux comme chez les humains, chacun a sa personnalité. Eux non plus ne sont pas mus que par leur instinct comme on a longtemps pensé.
Je l'entends siffler,
monsieur merle n'est pas loin,
le voici qui vient !
Merle dans l'allée,
je sais qu'il me reconnaît,
regards échangés
Je marche, il sautille,
me fait un brin de conduite,
merci monsieur merle !
Merle parisien
bien sympathique voisin
de ma résidence
***
Moi j'en aurais peur,
pourtant il est très gentil,
ce taureau Fadjen
Lenaïg