Pour le thème de Marie-Alice et la communauté du Coucou du haïku, le cerf-volant : un premier essai qui musarde autour de l'origine du nom français -comment le serpent est devenu cerf-, et autour du nom espagnol "cometa", puis un essai qui me replonge dans ma première lecture de Tintin au Tibet et ma surprise, à l'identique de celle du capitaine Haddock, devant le dragon à la fenêtre de la lamaserie. Selon son habitude à la fin de chaque page, Hergé créait le suspense ; là c'était un gros plan sur une entité mystérieuse et menaçante, démystifiée par un coup d'oeil à la fenêtre, page suivante, sur le spectacle des moinillons qui jouaient.
Il ne brame pas
mais il vole dans le ciel,
le serpent comète.
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Le dragon volant,
la stupeur du capitaine ...
Tintin au Tibet !
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Lenaïg