Tourne chance au carrousel
Bientôt la Saint-Valentin,
Jour pour déclarer sa flamme.
Bannis, petits plaisantins,
On tend son coeur à sa dame !
C'est le jour des amoureux,
Jolis cadeaux, belles rimes.
Le grand bonheur d'être deux,
Des poèmes, pas de frime !
Je pense à ceux qui sont seuls
Et voudrais qu'ils en profitent ...
La neige n'est pas linceul,
Que l'âme soeur vienne vite !
S'il faut zapper ce jour-là,
Sans tête à tête aux chandelles,
Qu'ils ne s'en attristent pas,
Carrousel fait vie belle !
Lenaïg
***
Brain storming, Saint-Valentin remake
Parlez-moi d’amour en musique
Fou, fou l’amour est fou ! Mon manège à moi c’est quand il me prend dans ses bras, je crie oui quand il dit non comme d’habitude.
Non, non, je ne regrette rien, j’irais jusqu’au bout du monde, je me teindrais en blonde pour que tu m’aimes encore. Ne me quitte pas ! Ne me quitte pas ! Je suis venu te dire, oui je t’aimais, oui mais…
Y’a une tant belle fille, il suffirait de presque rien pour que je l’emmène aux marches du palais jusque dans un grand lit blanc pour y dormir ensemble. Le petit bonheur, je l’aime à mourir. Et maintenant, que vais-je faire ? Ce cœur qui bat pour qui, pourquoi ? Même Paris crève d’ennui. Dans ses rues, elle court, elle court la maladie d’amour.
Je reviens te chercher, tu verras, tu verras, moi je t’offrirai des perles de pluie pour oublier ces heures qui tuaient parfois. Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais, tu m’en as trop fait.
Avec le temps va, tout s’en va le samedi soir quand la tendresse s’en va toute seule.
Lentement les ailes déployées, il avait les yeux couleur de rubis et portait un diamant bleu, c’est alors que je l’ai reconnu, surgissant du passé, il est revenu. Ne me quitte pas. J’irai chercher ton cœur si tu l’emportes ailleurs.
Et nous vivions de l’air du temps. C’est là qu’on s’est connu, moi qui criais famine et toi qui posais nue. Tout est gris dehors, comme d’habitude, je relève mon col, je vais jouer à faire semblant. Comme d’habitude, je l’aime à la folie.
Donnez-moi des roses mademoiselle, elle les aime tant !
Tu me tueras si tu t’en vas…
Je l’aime à mourir.
« La rage au corps
La mort au cœur
J’te veux encore
J’en vis et j’en meurs » Éric Lapointe
Marie Louve
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Pour la Sirène Evy (clic) dans son Univers magique ...
Illustration :
Les amoureux de Peynet, www.leportaildutimbre.fr