Pour écrire un beau poème
A l'ami parti que j'aime
Dont l'absence est un abîme
Je manque de mots sublimes
Bien sûr tu es toujours là,
Comme E T disait cela
A Elliot, à son départ,
Gravé en nous, quelque part
Science-fiction enfantine
Berçant mon âme chagrine
Ce long doigt qui s'illumine
Met l'espoir en nos poitrines
Peut-être souriras-tu
Et l'auras-tu entendu ?
Tu es mort, voilà le fait
Mais l'âme ... sait-on jamais ?
Pas de fin à notre histoire,
En cela, dur je veux croire
Notre monde a du quantique
Et Dieu est mathématique
Nos petites entités
Changent de réalités
LN