2011 Rue Barré - 19a - Suite à la p'tite page de liaison

Bon dimanche à tous,

un dimanche doublement férié

puisque nous commémorons ce jour l'armistice,

la fin de la guerre de 14-18

en y associant tous les morts

des conflits armés.

Le 11 Novembre 1918, mon grand-père

était à l'hôpital de Berck,

une balle lui ayant traversé la cuisse ...

Après un moment de recueillement,

de circonstance et de rigueur,

permettons-nous de sourire à nouveau ...

Rappelons-nous la chanson de La Madelon,

une personne sage dont le corsage

faisait rêver les Poilus ...

Coquelicots et bleuets,

que l'humanité apprenne à être sage aussi

et que gagne la paix.

***

Avant de jeter un éclairage complet

sur le "monde au balcon" de la page précédente,

je reporte ici les paroles de la chanson d'Alain Souchon,

qui nomme l'une des femmes célèbres,

objet de mon jeu,

MAIS ...

Ce n'est pas cette chanson qui fera

l'accompagnement musical de la présente page,

c'est une chanson de Charles Trénet.

***

Sans ce penchant pour une personne
L'être aimé
Sans les ailes que ça vous donne
D'être aimé
On reste au ras des pâquerettes
Au ras des pâquerettes
Sans cette attirance qui plane
Sur le monde
Dont on est toxicomane
Tout le monde
On reste au ras des pâquerettes
Au ras des pâquerettes
L'envie de voler si légitime
Passe par des moments intimes
Sans les mots de jalousie
Les bagarres
Mouchoirs lancés des trains partis
Dans les gares
On reste au ras des pâquerettes
Au ras des pâquerettes

(Refrain)
Si l'amour est une montgolfière
La vie un voyage pas long à faire
Montons au-dessus des villes, des campagnes
Sous l'effet de nos baisers de propane
Coeurs légers, coeurs légers dans les nacelles
Les amoureux volent dans le ciel
Laissant en bas les coeurs lourds
De ceux qui n'ont pas d'amour
La vie sans l'amour et ses délices
Qu'en est-il ?
C'est comme un avion sans hélice
Inutile
On reste au ras des pâquerettes
Au ras des pâquerettes

(au Refrain)

Sans les mots d'amour chéris
Adorables
Laissés sur les messageries
Des portables
Sans les ballons dans nos berceaux
Qui s'envolaient
Sans les seins de Sophie Marceau
Qu'est-ce qu'on fait ?
On reste, on reste, on reste

Paroles et Musique: Alain Souchon, Laurent Voulzy  

1999  "Au ras des pâquerettes"

  ***

Gina, Eva

Sophie, Brigitte

 

• Portraits de Gina Lollobrigida, Eva Longoria,
  
• Sophie Marceau et Brigitte Bardot.
• Coquelicots et bleuets : visoflora.com
  

Comments

[Marie Louve]

C'est pas nono :-))

[Lenaïg Boudig]

  Nono, kes ako ?

[Marie Louve]

Retroussons nos nos jupons et vivement le conte du lundi pour partir une bonne fois. Bonne nuit et la soupière est servie avec des beignets à la pomme. Bizs.

[Di]

Je pense qu'on avance. Il faut rester optimiste. J'ai simplement eu un coup de cafard. Bisous Hélène.

[Lenaïg Boudig]

Si nous restons optimistes, d'autres le seront aussi, et le sont déjà, comptons sur ceux-là. Et pensons à la saga ! De
plus, Marcus nous offre un trés joli conte pour le blog, ce sera pour demain soir j'espère. Bisous itou, Diane.

[Di]

Ce jour du Souvenir, on se souvient que l'horreur régnait à la guerre. Mais comment penser que la paix peut être sur Terre, quand peu d'années plus tard, tout a recommencé. Et encore tout ce qui
se passe ailleurs. Les dictateurs pervers se chargent de les continuer pour leur gloire afin de s'assoir sur leur trône et régner. Que certains fonctionnaires corrompus se remplissent les poches
avec la mafia et ne se privent de rien, pendant que des pauvres de la même ville ne mangent pas à leur faim. Ils m'écoeurent ceux là. 


 

[Lenaïg Boudig]

  Bonsoir Di. Oui, il y a maintenant les guerres comme avant et des armes tueuses de plus en plus perfectionnées,
et des guerres tout aussi meurtrières, pas forcément avec des armes traditionnelles. Espérons qu'on avance quand même sur le chemin de la paix. Bises.

[Josette]

quelle famille n'a pas perdu un ou plusieurs membres dans cette boucherie ?


si tu passes voir les Eparges l'écriteau donne bien une idée de l'horreur dans les mots que le soldat envoie à sa femme... Hélas les techniques évoluent mais pas la bétises humaine.


je n'attends pas la Sein Glinglin pour suivre les évolutions des Poissard and Co


iront-ils un jour à Sein ???


 

[Lenaïg Boudig]

  Salut Josette ! Je ne suis pas allée voir les Eparges, j'ai essayé de trouver ces mots du soldat à sa femme
sur le net, mais je ne les ai pas trouvés. Mais d'autres mots ont été écrits et des écrivains célèbres sont morts au cours de ces combats.


Merci beaucoup de passer par ici, et de suivre la saga ! A l'Ile de Sein ? Heu, je ne sais pas si c'est au programme ! A
plus tard, bizzzzz.

[Marie Louve]

Jour du souvenir pour ces Étoiles d'honneur qui ont tant fait pleurer les hommes. Jamais, il ne faut les oublier pour que paix devienne loi sur cette Terre.


 


Pour les saints au balcon, Bravo pour ce jeu amusant. J'ai obtenu 2/4. Je coule mon examen. :-)) Bon dimanche et salutattions à tes amours.


 

[Lenaïg Boudig]

  Hé oui, journée du souvenir, comme tu le mets, que l'humanité s'améliore et ne reproduise plus les horreurs de la
guerre.


Ce n'était pas un examen (si ça l'était, tu aurais la moyenne), c'était un jeu et tu m'as fait plaisir en t'y prêtant, c'est l'essentiel, comme Di, et Jill et Marcus ! Bizzz du soir à toi, les
tiens et je transmets aux miens.

[mamazerty]

tu nous montres les belles et tout leur "seins-frusquin",j'ai "tranchée", vive l'amour, amor la guerre

[Lenaïg Boudig]

  T'as tout compris, "Mama", t'as tout compris, "Mama", sur l'air de "T'es plus dans l'coup, Papa, t'es plus dans
l'coup, Papa", ce qui n'est pas ton cas ! Absolument, on fait l'amour, pas la guerre, et ce slogan ne prend pas une ride. Merci beaucoup à toi d'être passée par ici, ce soir j'espère pouvoir
entrer chez toi.

[jill bill]

Bonjour Lenaïg.... Ton grand-père aussi y était... Le mien en est revenu mais combien meurtri dans ses chairs et pulmonaire... la vie des tranchées !!! Merci à toi.... n'oublions pas !! 
Quand aux bustes féminins... que deux pour moi !!!  Bel après-midi à toi, bizzzzzzzzzzz JB

[Lenaïg Boudig]

  Bonjour Jill ! Même chose pour mon grand-père maternel par la suite, quant à celui de mon ours, il a été porté
disparu dans la bataille de Verdun, difficile de faire le deuil, comme on dit, dans ce cas-là.


Mais je suis championne des amalgames (un titre que je m'auto-décerne) et la vie continue jusqu'au bout ! Retour donc sur cette page aux décolletés ! Comme j'ai pensé qu'il n'y aurait plus
d'essais pour deviner, j'ai ... tout dévoilé !


Bel après-midi aussi, à plus tard chez toi, bizzzzz.